Et voilà qu’elle le voit
Assis par terre assis par là
Se demandant encore pourquoi
Elle ne peut faire le premier pas
La vie à deux définitivement ne sera
Que ce bonheur à attendre en vain
Parce que pour lui ses sourires béas
Ne sont qu’une petite musique en départ de train
Elle le regarde le cœur plein
Débordant d’amour et de tendresse
Il l’observe l’esprit au loin
Un verre à la main et le mot qui blesse
Elle entend ses murmures et ses poils se dressent
Il écoute ses arguments mais ne rêve que d’horizon
Alors à défaut d’être sa maîtresse
Elle prend le large direction Viry-Chatillon
Rien, rien, il ne ressent rien
Pour toujours, à jamais, elle s’en va